Evaluation du topoguide : En 2019 l'OTSI de Lorient a créé une application Androïd qui vous
accompagne sur ce parcours. Il n'y a pas de fiche imprimable, dommage. Malheureusement, lors de ma marche, l'application
a refusé d'enregistrer ma progression. En fin de circuit la progression affichée était toujours de 0 km !
Pourtant la pastille bleue indiquant ma position se déplaçait correctement.
Bien sûr, les notifications ne se déclenchaient pas. D'ailleurs, ces notifications étaient mal placées et indiquaient des
directions à prendre erronées.
On regrettera, dans ce parcours urbain, l'absence de description historique pourtant promise dans l'accueil.
Espérons que l'OTSI de Lorient améliorera cette belle application que j'ai baptisé Androïda.
Balisage : Ce parcours n'est pas balisé.
Difficulté : On est un peu dans un parcours d'orientation avec la facilité de suivre sa progression sur le smartphone.
Agrément : Etant parti dans l'idée de découvrir une cité ouvrière historique, j'aurai pu m'attendre à naviguer
entre des barres d'immeubles comme on en voit dans les banlieues parisiennes. Mais, pas du tout. On a plutôt l'impression d'être
dans des lotissements cossus réservé aux cadres ! En fait, les ouvriers de Lanester sont plongés dans la haute technologie de
l'Arsenal et ont de confortables revenus bien mérités.
Je chemine donc de parcs bien aménagés, en lotissements traversés par des sentes qui ménagent une tranquillité et le calme nécessaire
après une journée de travail. La fin de l'itinéraire remonte le ruisseau du Plessis à partir de son confluent avec le Blavet.
Après m'être rendu au parking du marais de Golden, je profite de cet espace pour faire quelques photos et me dirige vers le rond-point
que je traverse. Je me dirige, en coupant par un espace vert, vers la rue Gustave Courbet. Je prends à gauche la rue Jean Millet et sur ma
droite, la rue de Kerfrehour.
Sur une place, une halle sous laquelle, quelques personnes semblent jouer aux cartes.
Je m'engage, rapidement, sur ma gauche dans une ruelle qui me conduit rue Jean Jacques Rousseau. Les lotissements me paraissent
bien bourgeois pour une ville ouvrière. Il faut se méfier des idées reçues !
Après avoir tourné, à gauche, dans la rue Jules Guesdes, je traverse un rond point qui m'emmène dans un parc. Il me faut être très attentif
à ce que me propose Androïda (c'est ainsi que j'appelle l'appli) pour ne pas dévier de l'itinéraire. Juste près avoir laissé, sur ma gauche,
une maison de retraite, je débouche rue Léon Blum (nous somme bien dans une ville de gauche). Un petit écart à droite pour enfiler
la rue Mably.
Au bout de cette rue, je m'engage dans une longue sente aménagée entre les lotissements. Elle me conduit à un stade. Je dois tourner, à droite,
dans la rue du Toulhouet et, au rond-point, partir en biais sur un espace vert pour trouver la rue de Kergreis. Sur ma droite, c'est à nouveau
une allée herbeuse qui conduit à l'avenue de l'ingénieur Stosskopf. Androïda aurait été bien inspirée de me raconter
l'histoire de cet ingénieur
.
Un grand mur de béton se dresse sur ma gauche. Il est hérissé de barbelés. C'est le mur de
l'Arsenal
.
Il me faut suivre ce mur jusqu'au
Blavet
.
Je me trouve, alors, sur un sentier côtier que je ne devrais quitter que pour contourner les installations de l'entreprise
Kership
.
Je dois retrouver les marais de Golden en remontant le ruisseau du Plessis. Un peu large pour un ruisseau !
Ce circuit a été testé le 7 septembre 2020.
les traces partenaires
on se rejoint sur Facebook
Les potins d'Adèle
Voulez vous revivre les conversations avec de chèr(e)s disparu(e)s d'un village. Des sourires, beaucoup de rires et peut être quelques pleurs.
Commentaires du randonneur
Evaluation du topoguide : En 2019 l'OTSI de Lorient a créé une application Androïd qui vous accompagne sur ce parcours. Il n'y a pas de fiche imprimable, dommage. Malheureusement, lors de ma marche, l'application a refusé d'enregistrer ma progression. En fin de circuit la progression affichée était toujours de 0 km ! Pourtant la pastille bleue indiquant ma position se déplaçait correctement.Bien sûr, les notifications ne se déclenchaient pas. D'ailleurs, ces notifications étaient mal placées et indiquaient des directions à prendre erronées.
On regrettera, dans ce parcours urbain, l'absence de description historique pourtant promise dans l'accueil.
Espérons que l'OTSI de Lorient améliorera cette belle application que j'ai baptisé Androïda.
Balisage : Ce parcours n'est pas balisé.
Difficulté : On est un peu dans un parcours d'orientation avec la facilité de suivre sa progression sur le smartphone.
Agrément : Etant parti dans l'idée de découvrir une cité ouvrière historique, j'aurai pu m'attendre à naviguer entre des barres d'immeubles comme on en voit dans les banlieues parisiennes. Mais, pas du tout. On a plutôt l'impression d'être dans des lotissements cossus réservé aux cadres ! En fait, les ouvriers de Lanester sont plongés dans la haute technologie de l'Arsenal et ont de confortables revenus bien mérités.
Je chemine donc de parcs bien aménagés, en lotissements traversés par des sentes qui ménagent une tranquillité et le calme nécessaire après une journée de travail. La fin de l'itinéraire remonte le ruisseau du Plessis à partir de son confluent avec le Blavet.
Après m'être rendu au parking du marais de Golden, je profite de cet espace pour faire quelques photos et me dirige vers le rond-point que je traverse. Je me dirige, en coupant par un espace vert, vers la rue Gustave Courbet. Je prends à gauche la rue Jean Millet et sur ma droite, la rue de Kerfrehour.
Sur une place, une halle sous laquelle, quelques personnes semblent jouer aux cartes.
Je m'engage, rapidement, sur ma gauche dans une ruelle qui me conduit rue Jean Jacques Rousseau. Les lotissements me paraissent bien bourgeois pour une ville ouvrière. Il faut se méfier des idées reçues !
Après avoir tourné, à gauche, dans la rue Jules Guesdes, je traverse un rond point qui m'emmène dans un parc. Il me faut être très attentif à ce que me propose Androïda (c'est ainsi que j'appelle l'appli) pour ne pas dévier de l'itinéraire. Juste près avoir laissé, sur ma gauche, une maison de retraite, je débouche rue Léon Blum (nous somme bien dans une ville de gauche). Un petit écart à droite pour enfiler la rue Mably.
Au bout de cette rue, je m'engage dans une longue sente aménagée entre les lotissements. Elle me conduit à un stade. Je dois tourner, à droite, dans la rue du Toulhouet et, au rond-point, partir en biais sur un espace vert pour trouver la rue de Kergreis. Sur ma droite, c'est à nouveau une allée herbeuse qui conduit à l'avenue de l'ingénieur Stosskopf. Androïda aurait été bien inspirée de me raconter l'histoire de cet ingénieur .
Un grand mur de béton se dresse sur ma gauche. Il est hérissé de barbelés. C'est le mur de l'Arsenal .
Il me faut suivre ce mur jusqu'au Blavet . Je me trouve, alors, sur un sentier côtier que je ne devrais quitter que pour contourner les installations de l'entreprise Kership .
Je dois retrouver les marais de Golden en remontant le ruisseau du Plessis. Un peu large pour un ruisseau !
Ce circuit a été testé le 7 septembre 2020.
les traces partenaires
on se rejoint sur Facebook
Les potins d'Adèle
Voulez vous revivre les conversations avec de chèr(e)s disparu(e)s d'un village.
Des sourires, beaucoup de rires et peut être quelques pleurs.
contact : bretagne.rando@free.fr